La pensionnaire (Soumission féminine à une femme)

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il y a 10 ans

AUTEUR : ?

Préambule : ce texte a été posté sur les groupes d’écriture aujourd’hui détruits par yahoo. Par chance, je faisais des sauvegardes. Ecrivaillon.

La pensionnaire

Ça y est je suis en plein dedans ! J'ai peut être fait une grosse boulette de m'engager pour trois long mois ? Pourtant il a fallu batailler ferme pour qu'André mon trop doux mari accepte de laisser sa folle de femme se livrer corps et âme à une belle inconnue nommée Agnès.

Maintenant je suis dans une vieille et très grande bâtisse mi-chateau, mi-abbaye ; debout, menottée, yeux bandés et bâillonnée étroitement face à la femme qui peut pratiquer et même faire pratiquer par d'autres tout ce qui lui passe par la tête. Agnès est très belle et mon attirance pour les autres femmes n'est pas un secret . Agnès commence à déboutonner mon chemisier, j'essaie de ne pas laisser voir mon excitation mais je sens bien que mon corps réagit lorsqu'elle frôle mes petits seins à travers la soie blanche . Agnès n'a rien pu me dire sur ma condition future et quand j'ai tenté de lui faire promettre la seule restriction que je voulais imposer " ne pas me mutiler" elle a seulement sourit . (Loren)


  • Tu as accepté non ?

  • N'est-ce pas ? loren.

  • La majuscule disparaît lorsque l'on franchit les portes de l'Abbaye. Et l'on n'oublie pas "Madame" Agnès.

-Décidément loren tu bouges trop. Le troisième bouton n'est même pas défait que déjà ... Pas de M u t i l a t i o n . Sourire. Il y a de délicats supplices qui ne laissent pas, ou presque pas de traces....

  • Gentille agnelle ! Que tu es en attente ! Que tu es prête. Déjà livrée. Offerte à mes désirs imaginaires... ou réels. Il te faut apprendre la peur. Non pas celle d'une soirée au fond d'un parking, où le fantasme laisse la place à une effrayante réalité. Non. La peur. La crainte de tomber dans la réalité de Madame Agnès et son esclave loren.

La voici loren. La peur c'est comme une respiration. Une haleine que tu respires. Un souffle dans tes cheveux. Il y a le cuir qui se referme autour de tes chevilles, la barre qui les écarte. Frisson. Déséquilibre ?

Un large collier de chien dont le parfum fauve pénètre tes narines rétablit cet équilibre précaire. Un collier accroché à une chaîne qui pend de la voûte. Un collier refuge mais menaçant. Car si tu glisses, si tu t'affaisses... ne va-t-il pas t'étrangler ? Trop tard. C'est fait. Et il y a eu le claquement sec d'un cadenas que l'on verrouille. Tu bouges. Encore ? Mais c'est plus difficile n'est ce pas ? Surtout avec ces talons. Cuisses ouvertes... extrêmement ouvertes. Cela ne s'appelle pas barre d'écartèlement pour rien non ? Et la jupe courte, de satin noir, qui est remontée. Voyons...

Oui. C'est bien ma main qui caresse ton genou gauche. Puis l'arrière du genou. Légèrement. Crispation. Aveugle, tu respires mon parfum (Gautier...) saturé par l'émotion qui m'habite. Aveugle, tu écoutes mes ongles qui ......... !!! loren !!! un collant ??? (Madame Agnès)


Maîtresse Agnès, il faut que je m'habitue à penser et à dire Maîtresse cela risque d'être difficile, j'ai toujours tendance à oublier quelque chose et en plus ce mot ne me plaît pas, il affirme une reconnaissance de mon obéissance et je n'en suis pas là, j'ai désiré être sous la coupe d'Agnès, pardon, de Maîtresse Agnès pour qu'elle se charge de ma formation à son bon plaisir, je ne peux pas, d'entrée, jouer les domestiques .
Le bâillon en caoutchouc commence à me faire saliver anormalement et j'ai du mal a empêcher quelques écoulements à la commissure de mes lèvres . Un frôlement sur ma cheville gauche, puis une pression en cercle tout autour, un cliquetis, je suis aveuglée mais je sens et je sais que tu viens de l'emprisonner d'un bracelet .

Des mains m'écartent les jambes, fortement, à l'extrême ( es-tu seule Agnès? ) et un autre bracelet rejoint ma cheville droite . Je titube dangereusement , je suis sûre que je vais tomber lorsque mon cou est pris dans un piège de cuir qui m'empêche de m'effondrer en m'étranglant à demi . En équilibre instable sur mes hauts talons, mes cuisses ouvertes largement, je me sens moins fière maintenant, car je suis complètement en ton pouvoir, d'ailleurs je sens tes mains sur mes jambes, sur mon genou, derrière, puis ta main remonte le long de ma cuisse et d'un coup se retire sèchement . J'ai compris avant que tu ne parles mais tes mots frappent mon coeur, ils le serrent, j'ai peur que tu n'arrêtes tout, que tu me renvoies . Pourtant je voudrais t'expliquer, te dire, te supplier de m'écouter, (ce maudit bâillon) je n'ai pas pu trouver d'autres paires de bas sombres pour remplacer ceux qui venaient de se déchirer juste avant mon départ ........

Je n'entends plus rien, aucun bruit, je n'en peux plus de cette inactivité, j'ai peur, je bouge et me débats, le collier serre mon cou et tire sur mes vertèbres car mes jambes plient, je m'étouffe, ma bouche bave, je perçois un filet qui coule sur mon menton . Et moi aussi je coule, corps et âme, des étoiles traversent le bandeau de mes yeux . (esclave loren)


  • "Et bien, petite sotte !"

Assise dans un fauteuil, à l'extrémité de la pièce, lola, ma servante personnelle agenouillée devant moi je t'ai vue partir. Je me suis précipitée. J'ai donné du mou à la chaîne, desserré le collier. Un peu. Tu tomberais à genou si lola ne te retenais pas. J'enlève le bandeau pour que tu puisses me regarder. Tes yeux sont voilés encore. Mais peu à peu tu retrouves ta respiration , ton calme.

  • "Ecoutes ma douce agnelle, promise au sacrifice sur l'autel de mes fantasmes. C'est la fatigue peut être, un long voyage. L'excitation aussi. Peu importe. Il faut que tu saches. Il n'y a pas de salut ici. Pas d'échappatoire si tu préfères. Un évanouissement ne te servira de rien. Il y a des remèdes contre l'évanouissement, sais-tu ? "

Tout en parlant j'achève d'ouvrir ton chemisier. Je caresse de l'index la courbe de tes seins menus. Et je saisis un des tétons. Le pince doucement.

  • "Tu as compris ? Et il y a le fouet aussi. "

Je souris alors que tu sursautes.

  • "Tu es toute en sueur, loren. Et tu as bavé sur ton chemisier. Et ta bouche ! Tss tsss. Tu te laisses aller, loren !

(un petit baiser à la commissure de tes lèvres distendues)

  • Chuuutttt. Tu n'as pas échoué à quoi que ce soit. Il n'y a pas d'examen. Simplement la recherche d'un plaisir interdit. Mais tu es épuisée. Une nuit de repos te fera le plus grand bien. Lola, tu la décroches pendant que je prépare sa couche."

Le grand lit est là. Tu ne l'avais pas vu, tu lui tournais le dos. Un ouvrage d'artisan. Tout en fer forgé. Un feuillage, un buisson de métal. Lola te pousse vers le lit. C'est difficile de marcher n'est-ce pas ?. La barre est toujours là. Lola glousse (elle est toujours contente lorsque je lui donne un peu de ce pouvoir) lorsqu'elle te pousse et que tu t'effondres sur le lit. A plat ventre.

  • Pas de lola. Je la renvoie. Je sais qu'elle est jalouse. Mais je m'occuperai de son caractère plus tard :) A nous, loren. A moi. Je bande tes yeux de nouveau. Et je m'occupe de tes vêtements.
    La soie... Un tissu terrible. Pourtant si doux. Mais qu'il fasse un peu froid et c'est glacé. Un peu chaud ? Et ce sont des auréoles sous les bras. Toi ? Et bien il est tout trempé ce chemisier. Mieux vaut le retirer. Avec les poignets menottés ? Le canif... As tu oublié ? Lentement... je prends mon temps. Tu te crispes à chaque fois que le tissu se tend sous la traction de la lame. Des lambeaux. Je laisse des lambeaux. Il ne va plus te gêner en tout cas. Je dépose un baiser au creux de tes reins. Tiens ! Tu n'es plus évanouie. Et je retrousse ta jupe. Ce collant...

  • Sais tu que des hommes fantasment sur le collant ? Parce que le fait de le déchirer ressemble à un v i o l . N'est ce pas la raison de ce collant que tu as mis ? Une provocation ? Non. Je ne crois pas. Je ris un instant. En silence. Aussi bien une histoire de bas filés ???

Cela résiste. Lorsque le canif craque le nylon pour la première fois, je sais que tu comprends. La couture d'abord. Puis on tire sur le tissu. Oui, loren. C'est un v i o l . Le nylon se tend, rentre dans la chair tendre de tes cuisses. Puis il lâche. Il se rompt. Tu le sais. Entre tes cuisses, ce n'est plus pareil. Comme une libération. Une impression de fraîcheur. Quelques fils microscopiques s'incruste encore dans la peau. Mais Il ne reste plus que la dentelle du string. Le string ? Je le laisse ainsi. Le collant est ouvert, béant. Que les échelles en sont belles. Je comprends Bethina Rheims. Je me retiens d'un baiser... plus tard.

  • "Bonne nuit loren. Fais de beaux rêves. Ton collier et la barre d'écartèlement sont fixés au lit. Tu ne risques rien. A plat ventre, ta salive ne pourra t'étouffer. Mais en tout cas. Il n'y aura personne. Ne l'oublie pas."

(Madame Agnès)


Je reprends lentement mes esprits, la difficulté de respirer diminue lorsque l'on détend la chaîne et relâche un peu mon collier de cuir . Je me sens soutenue par plusieurs mains, dans le brouillard de ma vision tu apparais, le bandeau de mes yeux s'en est allé. Tu m'observes, je te crois curieuse de moi, c'est bizarre, cette curiosité me touche et me détends, pour un peu j'en rirais . Pour l'instant ce sont des larmes que je retiens avec difficulté (maudite fierté) . Une flamme d'un coup sur mon téton, tu m'as pincé, j'ai bondi mais je n'ai pas mal .

Alors tu me parles Agnès, Maîtresse Agnès. Ce doit être la fatigue du voyage, possible mais j'ai perdu pied quand même, pour un tout début je me suis affolée comme une biche, grillée "la pirate courageuse" . Une femme inconnue me fait marcher ou plutôt me traîne, les jambes écartelées vers un grand lit métallique, OUPS ! d'une bourrade elle m'a allongée à plat ventre sur le matelas . Lola elle s'appelle lola j'ai entendu son nom quand tu l'as renvoyée . Le noir revient, mais je n'ai plus peur, pourtant dès la pose du bandeau mes larmes contenues s'évadent . Entre deux s a n g lots que je passe sous silence pour ne pas que tu t'aperçoives de mon émoi, je t'imagine Maîtresse de moi, initiatrice de mes tourments mais néanmoins bienfaitrice de plaisirs .
Tu as ravagé mes vêtements avec une lame, je l'ai reconnue. J'ai aimé l'empreinte rapide de tes lèvres sur mes reins, ta voix me berce, dors bien, je m'assoupis, la fatigue du voyage, la tension nerveuse de la débutante, mon cerveau mélange tout, j'avale ma salive dans le bâillon, une crampe en haut de ma cuisse gauche s'estompe sans causer trop de douleur, j'entends un bourdonnement, "moteur" ? Non c'est le s a n g qui coule dans mes veines et qui emporte avec lui ma dernière lucidité .

(esclave loren)


Oui. Je sais. Je suis inquiète. Je me soucie de toi. Plus tard... beaucoup plus tard, j'ai entrouvert la porte de ta chambre (cellule ?) Tu as peu bougé... Normal. Immobilisée comme tu l'es. Mais ta respiration est calme. Je contemple longuement ce tableau que tu me présentes. Vêtements en lambeaux. Les poignets menottés. Sur le ventre. La fine lanière blanche du string qui sépare tes fesses. ...... J'hésite un instant. Non. Chaque chose en son temps. ..... Une couverture ? Ce n'est pas nécesaire. Lola a monté le chauffage. La maison est ancienne. Mais rénovée. Loren n'aura pas froid. Je regagne ma chambre. Allons, Agnès, ce n'est qu'une élève.... (Madame Agnès)

Une main ferme te réveille. Une voix d'homme. Un homme ?

  • "Debout esclave. Madame t'attends"

Sans trop t'en rendre compte, tu te retrouves assise sur le bord du lit. La barre a été enlevée mais la nuit a laissé tes muscles engourdis.
"Allez dépêche toi" Quelque chose tire sur ton collier. Tu te dresses, un peu flageolante. Tu ne vois rien. Le bandeau est toujours là. La bâillon boule aussi. Et les menottes. Tu remues tes doigts, bouges les épaules... Un coup sec sur tes fesses. "En route et lèves tes genoux." Ce qui tire sur ton collier, une laisse ? t'entraîne. Une serrure que l'on déverrouille, une porte que l'on ouvre.
Il fait froid d'un coup. Mois de mai pourri et dans cette région...
Un coup sur les mollets, "un peu plus haut, c'est bon pour la circulation" un rire ponctue cette phrase. Tes talons claquent sur le sol d'un couloir ou tu ne sais quoi. Il rit. Soudain tu réalises. Tu es quasiment nue ! La jupe, le chemisier tu n'en sens même plus les lambeaux. Juste ton string et ce collant. Enfin ce qu'il en reste. Et comme pour matérialiser cette découverte, une bourrade te plaque contre un mur.

  • "T'es une bien jolie poulette toi!"

Une main de l'homme se pose sur ton sein droit, le serre, son autre main s'insinue entre tes cuisses ... Tu respires son odeur de mâle. Il se colle à toi. "serait dommage de pas en profiter "

Ton esprit chavire, prend peur, crépite d'images. Esclave, prisonnière, soumise, v i o l ée... Agnès ! Non ! Et puis tout s'arrête. Un rire. Un rire de femme. Oui c'est moi. Dans le salon où tu es arrivée sans t'en rendre compte.

  • "Bravo Dominique. Belle performance. Elle y a cru. N'est-ce pas esclave loren ? A genoux maintenant. Nous avons à parler. Les cuisses écartées"

Je fais un signe à Dominique. Pour qu'il t'enlève bandeau et menottes. Et le bâillon. J'aime voir tes yeux lorsqu'il découvre la lumière de nouveau. Pourtant ton maquillage s'est étalé. Des larmes ? Ta bouche rouge encore déformé par le bâillon, tes mains qui frottent tes poignets rougis par l'acier... tu n'as pas le droit de faire cela, mais tu ne le sais pas encore. Le bâillon enfin. Un haut le coeur lorsque la boule de caoutchouc est extraite d'entre tes mâchoires.

  • O loren! Si tu savais combien j'ai envie d'embrasser ces yeux, de baiser cette bouche, de lécher ces larmes et cette salive... le sel sur ta peau. Mais il est trop tôt. Le temps n'est pas aux plaisirs mais aux châtiments. Châtiment qu'appelle ton évanouissement d'hier soir, le collant et ... ta bouche desséchée. "Tu as soif n'est-ce pas ? De l'eau pour l'esclave."

Dominique s'approche, te tend une bouteille. Une grande. D'un litre et demi. Eau de source ... Qu'importe. Tu es rassurée. Bien qu'à genou tu as l'impression d'être de nouveau en territoire connu. Je le vois dans tes yeux. Tu portes la bouteille à tes lèvres. Elles s'arrondissent, enveloppent le goulot. A regarder les yeux de Dominique, je sais qu'il pense à la même chose. Je le fusille du regard. Il comprend qu'il devra attendre lui aussi. Tu as fini. Tu rends la bouteille aux trois-quarts pleine. Indécise. Mes paupières forment un Non muet tandis que je murmure "encore". Tu ne comprends pas tout de suite. Tu me regardes. j'acquiesce, "encore". La bouteille dans ta main tendue, tu regardes Dominique. Il a une autre bouteille prête.

  • "Madame, je ...."

De la main j'arrête la cravache de Dominique.

  • "Elle ne sait pas encore qu'elle n'a pas le droit de parler sans autorisation.

Loren, esclave loren. Pour l'instant je te donne l'autorisation de boire. Autorisation qui est un ordre. Voilà ce qu'il en est. Dominique, ses poignets. Les bracelets de cuir. Mains dans le dos." Dominique s'exécute. Tu es de nouveau attachée. "Tu vas boire ces deux bouteilles. Tu vas les boire parce que je t'en donne l'ordre. Tu vas les boire parce que tu n'as pas fait pipi depuis hier soir. Que ta vessie va te sembler prête à éclater.
Dominique et moi allons prendre notre petit déjeuner. Quand tu n'en pourras plus, tu pourras transgresser la consigne de silence, demander la permission de te soulager. Tu vois la cuvette près de la cheminée ? C'est ta gamelle à tout faire. Bien entendu tu seras punie pour avoir parlé sans autorisation. Bien entendu tu seras punie pour te conduire comme une jeune chienne incontinente. Et maintenant bois. A toi Dominique. f o r c e cette jolie bouche avec le goulot de ces bouteilles." (Madame Agnès)


Je suis attachée, maintenue ouverte par des s a n g les de cuir qui tiennent mes bras, mes cuisses au-dessus des genoux et mes chevilles . Je ne peux que secouer ma tête dans toutes les directions car une très large ceinture me scie l'estomac m'immobilisant totalement . Je transpire ma jouissance par tous les orifices de mon corps martyrisé . Agnès, mon amante maîtresse s'est affublée d'un gros dildo harnais et me pilonne inlassablement tout en tirant dans le rythme de son va-et-vient sur la fine chaîne qui relie les anneaux d'argent de mes tétons percés . Et je jouis, je jouis à n'en plus pouvoir, je hurle dans mon bâillon des demandes vaines, mon corps s'élève vers le sublime et....
"debout esclave. Madame t'attends" . Je rêvais .

" Aie ! les muscles de mes jambes sont engourdis " . Un homme me dirige de la voix et du geste, qui est-il ?
Un employé sûrement . Ne pas désobéir surtout ! J'ai une soif terrible, je crois bien que je n'ai plus de salive, peut-être pourrai je obtenir une douche et un café car je me sens toute poisseuse de mes larmes, de ma sueur et ma salive a coulé sur ma poitrine. Je le perçois, ça colle un peu ? ? Rien de tout cela, je me retrouve agenouillée f o r c é e de boire plus de deux litres d'eau après avoir été bousculée dans une sorte de couloir glacial et presque v i o l ée . Quand je pense au mot v i o l , si je ne voulais rien de tout cela il fallait rester sagement prés de mon doux époux
( loren, tu cherches, tu veux connaître, et bien tu trouves ) .

Le goulot de la première bouteille f o r c e mes lèvres, la barrière de mes dents et s'insinue à l'orée de ma gorge pour déverser ses torrents cristallins .
J'avale du mieux que je peux, je hais l'employé, tiens une idée, je lui en recrache une bonne bolée sur le bas de son pantalon et sur ses chaussures . Mauvaise idée, la gifle que je prends manque de me faire basculer sur le coté, les larmes reviennent,

  • " plus jamais c'truc la " dit-il .

Je hoche la tête soumise et reprends malgré moi l'ingurgitation ;

"Dominique l'employé" : Je te hais ! Je vais avoir un bleu, je te hais . Moitié de deuxième bouteille, je n'avale plus, une pause a lieu, toujours à genoux, et ça repart tant bien que mal, plutôt mal, au ventre d'ailleurs, j'arrive à terminer mon épreuve (on me fait cadeau du fond de la bouteille tu parles d'un cadeau . Je te hais Dominique "domi-nique" je souris, contente de mon jeu de mot ). Par méfiance je garde la tête basse faisant mine de fixer le sol alors que mes yeux parcourent la pièce par en dessous . Les prémices de la tension que devra supporter ma vessie commencent à se faire sentir . " Maîtresse s'il vous plais " point de réponse, " Maîtresse Agnès je vous en prie " , je lève les yeux et croise votre regard que je soutiens un instant

(esclave loren))


  • Et bien, tu les as bues ces bouteilles ! Te voilà remplie. Insolente pourtant. Ce tu as fait, Dominique te le fera payer à un moment ou à un autre...

Je ris en moi même... Je sais quand... Bientôt ! Dominique que tu prends j'en suis sur, pour un employé, un domestique. Si tu savais ! Il faudra que je te parle de certaines choses. Le thé est délicieux. Le gâteau aussi. Décidément j'ai eu raison d'acheter cette lola. Elle a un don merveilleux pour les plaisirs de la table... Et d'autres. D'elle aussi, il faudra que je t'entretienne. Je jette un regard vers ma droite. Tu es à genou. Les cuisses ouvertes. Je te vois osciller sur tes talons. Les trois litres d'eau doivent commencer à te peser. Ton ventre s'est arrondi. Un peu. Tu serrerais bien les cuisses mais tu n'oses pas. Tu fais ta sournoise. Tu observes tout, les yeux baissés. Tu es orgueilleuse. J'aime cela. Cela va être dur pour toi (pour moi aussi) mais cet orgueil je vais en faire une qualité. Quand je t'aurais apprivoisée. Quand je t'aurais dressée. Ca y est.

  • "Maîtresse s'il vous plaît " Je fais semblant de ne rien entendre.

Dominique, le nez dans le Courrier international a entendu lui aussi. Ses paupières se plissent, sourient. Une deuxième fois. Tiens on me prie. Je me tourne. Je te regarde. Dans les yeux. Tu ne les baisses pas hein ! De l'index, je te fais signe d'approcher. Tu avances à genoux. Bien.

  • "Debout loren. Fais toi voir.... snifff. Tu sens l'esclave mal lavée."

Je pose ma main sur ta cuisse. J'en trace les contours.
Maintenant ma main repose à plat sur ton ventre. Je le sens crispé. Dur. Je fais glisser ma main vers ton pubis. Je m'accroche un peu dans le collant effiloché. Ma main trouve la dentelle du string.
Il faudra que l'on t'épile d'ailleurs. Entièrement. Petite aguicheuse. La microscopique culotte doit te scier le minou maintenant. Je tire dessus. Un peu. La fine lanière te pénètre. Tu frémis. Tes cuisses se serrent involontairement. Je glisse un doigt sous l'empiècement. Oh la la ! Tu trembles ! Trop envie ? Je referme ma main sur la dentelle... Je te tiens par la culotte. "Tu veux quelque chose esclave loren? Chuuuttt! Tais toi. Je sais ce que tu veux. Voilà ce que tu va faire. Tu as fâché mon ami Dominique tout à l'heure. Ses chaussures sont souillées. Mon tapis aussi d'ailleurs. Mais l'important c'est ton insolence. Tu es pleine ? Tu veux te vider ? Demandes à Dominique. Qu'il t'accorde la permission. Moi je ne sais pas s'il va te pardonner pour tout à l'heure. Il faut peut être que tu lui fasse un petit cadeau, une offrande ? Une offrande d'esclave de plaisir. Hmmmm ? Tu l'aimes bien Dominique n'est ce pas ?" Je souris en disant cela. Je te vois froncer les sourcils. J'ai vu tout à l'heure tes regards. Alors va, esclave. Va quémander un pardon. Va implorer une permission. Et je veux t'entendre. Distinctement.

(Madame Agnès)


J'ai compris la leçon, point de fioritures, je ne suis pas en mesure en ce moment de tergiverser ... Je regarde Dominique, mon regard ne cache rien de mes sentiments, je sais ce que je dois faire, j'ai vu l'envie de cet homme lorsque j'ai ouvert ma bouche pour saisir entre mes lèvres le goulot de la bouteille . Son désir était tellement fort qu'il en était presque palpable . Je m'approche de lui, ou plutôt devrais-je dire je rampe vers lui sur les genoux .

Mon ventre commence à me faire vraiment mal, la tension s'accroît au fil du temps, il faut que je me dépêche, je connais le remède à ma souffrance . Je décide de jouer sur lui de mon pouvoir de séduction, je semble l'admirer, je lui fais mes yeux de biche apeurée et m'approche tout contre lui. Il ne me repousse pas, je m'insinue entre ses jambes que j'écarte doucement et pose ma tête sur sa cuisse. Je redresse mon visage et fais la moue en clignant des cils tout en passant la langue sur ma lèvre supérieure . Accrochant mes bras par derrière il m'ôte les menottes .

Le regard qu'il me jette en dit long sur sa libido présente, je sais que j'ai gagné cette manche . Aiiiie....une lance me pique l'estomac, ou plutôt la vessie, enfin je ne sais pas, toujours est-il que mon envie de me libérer devient un besoin urgent, il faut que je m'active, je ne supporterais pas la honte si je me lâchais bêtement au beau milieu de ce salon . Mes mains saisissent délicatement sa boutonnière et dégrafent un à un ses boutons de métal . Je masse quelques instants son sexe que je sens sous mes doigts durcir de plus en plus .

C'est un engin d'une taille impressionnante que j'extirpe de sa gangue de coton. Dominique remonte dans mon estime, j'adore la fellation et suis très douée à cette pratique ( bonne pipeuse dixit mes ex )... Je caresse son gland du bout de ma langue puis l'enfourne en entier passant ce même gland derrière ma luette (étonnant non, mais réel ! ) , j'alterne ce mouvement assez longtemps, son sexe vibre .

Le pénis de Dominique est vraiment très gros, j'ai du mal à l'avaler complètement alors de temps en temps je le ressort et titille le trou du gland et essaye d'y enfoncer la pointe de ma langue puis absorbe juste ce gland et procède à une succion extrêmement forte . Je l'enfourne à fond, ses couilles que je pétris délicatement venant buter contre mon menton .

Ce mouvement renouvelé, telle une marée emporte notre "ami " Dominique au sommet d'une jouissance qu'il ne croyait pas pouvoir obtenir de moi de cette manière . En gémissant doucement il éjacule un flot épais que j'avale consciencieusement ( comme si j'avais encore soif ) . Lui laissant à peine reprendre ses esprits, je suis à peu prêt sure que ce fut la plus belle et plus rapide pipe de sa vie, je le supplie de me laisser me soulager : M' autorisez vous Monsieur à vider ma vessie ?

Un signe de tête et un mot, un seul, celui que j'attendais : VAS !
Rapidement je rampe vers la cheminée, me saisis de la cuvette tant désirée et me vide sans honte devant les yeux sidérés de ma Maîtresse qui se demande encore comment j'ai pus faire abdiquer si rapidement Dominique . Si tu savais Maîtresse .....

(esclave loren)


Tu m'as étonnée. Ou bien tu avais vraiment très envie :-) Je me lève. M'approche de toi. Pendant que Dominique se réajuste, j'entrave de nouveau tes poignets. Je t'aide à te relever. Essuie de mon pouce tes lèvres. Tu me regardes. Tes yeux pétillent. Tu es contente de toi hein ? Puis ton visage se tourne vers la table basse. Vers le plateau du petit déjeuner, le gâteau tout gonflé de fruits confits. "Non, ma chérie. Ce n'est pas pour toi. Tu viens de manger n'est-ce pas. Le repas d'une esclave sexuelle."
Tiens, tes yeux ne pétillent plus. Je me tourne vers Dominique :

  • " Je m'occupe d'elle. Tu t'occupes de la nouvelle ? L'espagnol ? "

Il acquiesce, un peu rêveur. Petite salope, tu l'as bien pompé. Première fois que je vois Dominique comme cela.

  • "Allez. Avance." Je tire sur ta laisse d'un coup sec. Tu trébuche. Te rattr a p e s.

Couloir, escalier, couloir. Je parle en marchant. J'entends tes talons qui rythment nos pas.

  • "Sais tu, il y a deux sortes de pensionnaires ici. Les volontaires comme toi. Et puis disons...les persuadés. En général il n'y a pas d'intersection entre les deux ensembles. Mais parfois certains reviennent dans une autre catégorie. Je m'arrête. Me retourne. Tu baisses les yeux.

  • "Théoriquement tu repars dans trois mois. Mais ... supposons que Dominique te persuade."

Nous sommes arrivés à ma chambre. Derrière pas de protestation sur cette flèche de Parthes. J'ouvre la porte. La salle de bain. La cabine de douche.

  • "Tu pues, loren. Beurk. Et puis il faut te débarrasser de ces oripeaux.

Ici, une esclave n'a pas de droit. Pas d'initiative. Elle, ou il, dépend de moi, ou de mes aides pour tout. Tout en expliquant (je suis bavarde hein ?) , j'ai accroché tes bracelets de cuir, devant toi, à une chaîne qui descend du plafond.

  • "Une esclave ne boit pas, ne mange pas. On l'abreuve, on la nourrit. Elle ne se lave pas, elle ne s'habille pas. On la nettoie, on la pare. Même tes besoins, on s'en occupe. Et tes règles c'est quand ? Répond esclave ....

J'appuie sur un bouton. Un léger bourdonnement et te voilà étirée vers le haut, bras au dessus de la tête. J'enlève tes chaussures. Ce qu'il reste du collant. Le slip. Ton collier aussi. Je te le montre. Avec la plaque gravée à ton matricule LO71. Deux crochets de part et d'autre de la cabine me permettent d'écarter tes jambes. Un Y renversé. La lettre lambda. Une esclave lambda... Je ris toute seule. Tu dois me prendre pour une folle. Et je sors de la cabine. Ecartelée, en extension, c'est ainsi que je te laisse. Et qui sursaute quand l'eau sous pression, jaillit de la dizaine de buses qui garnissent les parois.
Je referme la porte de la cabine. Qu'indique le panneau de commande extérieur ? 33 °C. ..... Je règle à 16 ° C. J'espère que tu aimes l'eau froide ... Je t'entends qui couine de l'autre côté de la porte. Je referme la porte de la salle de bain. Tu ne le sais pas évidemment. Mais je ne me sauve pas longtemps. Juste le temps de me déshabiller, de me démaquiller et de nouer mes cheveux en arrière. Je remonte la température en rentrant dans la cabine. Quelques instants puis j'arrête l'eau. Tu es toute rouge. Le froid. Les gifles de l'eau. Je m'approche. J'écarte tes cheveux. Je t'embrasse. A pleine bouche. Que c'est bon. J'en frissonne. Toi aussi. Je m'écarte un instant. Tu me regardes... Oui... Je sais. Je n'ai plus 28 ans. Orgueilleuse jeune esclave. Mais ces mains que j'enduis de crème de douche ne sont pas enchaînées. Elles. Je commence à te savourer. A toucher ta peau de mes caresses fluides. Tes seins d'abord. Il y a plein d'une petite mousse entre ma main et ces petits globes. Quoique... Lorsque le mamelon est tendu... c'est presque du 90 C. C'est ce que je te susurre à l'oreille tout en la mordillant. Tu ne peux t'empêcher d'émettre un "Maîtresse" vexé. Ton ventre maintenant. Je reste discrète. Je ne cherche pas à t'ouvrir. Je joue de ton corps comme d'une v i o l e. Et mon corps est parfois l'archet. Mes seins sur les tiens, mon ventre sur ta cuisse. Oui je t'utilise. Et tu m'utilises aussi. N'est ce pas ?
Et je crois que nous tirons l'une de l'autre quelques beaux accords...
Mais...

C'est brutal. Je te décroche, te libère. Pour te sortir de la cabine. Quelques pas. Et tes poignets sont de nouveaux enchaînés en hauteur. La tendresse est terminée. J'en ai décidé ainsi. Je lie tes genoux. Rapidement. Tu sais avec le système John Willie. Trois tours au-dessus des genoux et la corde passe entre les cuisses, tourne autour des six brins. Serre. Très fort. Sans blesser. Tes chevilles maintenant. Pareil. Et tes coudes. Quatre tours pour ta taille. Très serrés. Et les 2 brins restant vont passer entre tes cuisses ligotées. Un bâillon. Tu vas crier lorsque je vais continuer... Ton slip. Et le collant. J'enfourne la dentelle devenue grisâtre dans ta bouche. Tes yeux sont agrandis. Je te sais forte mais je t'ai surprise. .. Enfin je le crois.

Petite saloperie, jusqu'à présent tu partages la direction des événements. J'enroule le collant autour de ta bouche.
Puis je termine le bondage. Je tire sur les brins. Les cordes te pénètrent embrassées par tes lèvres. Que j'ajuste. Je ne suis pas très douée en Shibari. Mais je me débrouille. Et ma foi, au vu de ton regard, le résultat est satisfaisant. Tes seins maintenant. Sensibles parait-il ? Et bien nous allons voir toutes les deux. N'est-ce pas ? Je passe tout d'abord une sorte de baudrier de cuir épais autour de ton cou. Un morceau assez long tombe au milieu de ta poitrine. Et je te montre les pinces. Petite orgueilleuse. Surprise n'est-ce pas ? Tu as compris.
Mais tu ne devines qu'en partie.

Une longueur de corde. pour fabriquer une sorte de wonder bra. Dessous tes seins. Et dessus. Je ne tourne pas autour. Méchante, je te murmure qu'ils sont trop petits pour cela... Je le savais. Tu es fière de tes petits seins. Mais envieuse aussi. Tu as du en entendre, non ? Pas de réponse claire, intelligible. Quelques grognements. Qui ne dit mot consent ! Il faut dire que le string bien que ridiculement petit, lorsqu'il est enfoncé dans une jolie bouche .... Je mets en place les pinces. Et bien en effet. Tu as les seins sensibles ! Pourtant le ressort est peu tendu. Mais je vois tes yeux chavirer. Une fois. Deux fois.

Je place l'appareillage. Une barre métallique qui relie les deux pinces. Avec une tige filetée, une molette à un bout, qui la transperce. Une extrémité de la tige filetée vient prendre appui sur le baudrier. Il ne reste plus qu'à tourner la molette. Et cela tire. Loren tu fais du 85 M maintenant !
Tu mords le bâillon. Tes yeux se ferment. Des larmes coulent.
Loren, loren. J'embrasse tes yeux. J'en lèche les larmes. Je joue un instant avec la tige filetée. Fais fonctionner le treuil. La pointe de tes orteils touchent à peine le sol carrelé de la salle de bains. Et j'abats la cravache. Quel bond ! Sur les fesses simplement. Tu réussis à crier. Oui loren. Ce ne sont plus des rêves, des fantasmes. Ma cravache est là. Qui te fais tourbillonner. Dix coups. Dix coups seulement.
Mais tes gémissements m'accompagnent lorsque je te laisse, lorsque je t'abandonne à ta douleur, oscillant dans tes liens, que je ferme la porte capitonnée de la salle de bain. Je m'allonge sur mon lit. Il est tard.
Mon corps reste insatisfait. Je sonne Lola.

(Madame Agnès)


Tu m'as laissée pratiquement suspendue, mes orteils touchants à peine le sol carrelé .

Mes fesses striées de marques rouges, mon string enfoncé dans ma bouche qui n'a eu cesse de te supplier vainement . La corde qui me scie la vulve est insupportable, au mouvement le plus infime elle irradie une douleur lancinante dans tout le bas de mon corps. De ma taille serrée étroitement ( c'est mon mari qui serait content, lui qui rêve de pouvoir en faire le tour avec ses mains ,un peu à l'image de ces pin-up de l'après guerre ) jusqu'à mon clitoris en feu, en passant par mon orifice le plus étroit, ( un coup de cravache s'est égaré juste sur son entrée (involontaire ? pfff ! ) tout cet endroit sensible me brûle . Mes seins, pincés et étirés à outrance me font souffrir eux aussi, moi qui suis d'habitude une jouisseuse des seins, là pas de plaisir, rien que de la douleur .
Longue nuit, combien de fois ai-je hurlé dans mon bâillon, combien de fois ai-je supplié ma délivrance, maintes fois j'ai cru défaillir, mais toujours j'ai lutté plus puissamment .

J'ai lutté souvent pour expulser mon bâillon trempé par ma salive et mes larmes, cent fois j'ai lutté contre les cordes qui me pressent et me coupent la circulation, lutte perdue d'avance Agnès, Maîtresse Agnès ne fait pas d'erreur quand elle ligote . Ma victoire ce matin, quand tu es venue me libérer et que, presque inerte, tu m'as embrassé tendrement me soutenant dans tes bras, ma victoire fut d'avoir conservé ma fierté, la seule chose que je possède encore dans ce royaume infernal. Cette fierté, je m'y accroche comme à une bouée de sauvetage en pleine tempête "mais pour combien de temps encore" . Tu me confie, ou plutôt tu m'abandonnes entre les mains de cet inconnu, qui est-il ? pourvu que cette journée soit douce, car avec la nuit que je viens de vivre.

Il m'entraîne, nos regards se croisent, je lis dans tes yeux, tu sembles fière de moi, contente. M'aimes tu réellement ?
La soif vient me tirailler, alors que Fiedrich m'entraîne par de long couloirs dans une autre aile de cette bâtisse que je n'aurai pas cru aussi vaste . Curieusement je n'ai pas faim, pourtant cela fait plus de trente heures que je n'ai rien avalé mis à part une bonne dose de sperme de mon "ami" Dominique .
Fiedrich me pousse dans un ascenseur. Un ascenseur dans cette veille demeure comment est-ce possible ? De quel moyen financier dispose-t-on ici ? Suis-je chez quelque riche milliardaire ou émir du pétrole ? Peut-être est-ce aussi une organisation secrète, mafia ou autre chose de similaire, pourvoyeuse de jolie filles ? Cette idée me fait peur, je me suis peut-être jetée sans le savoir dans la gueule du loup .

Et si Maîtresse AgnÈs n'était qu'une illusion, la confiance aveugle que je lui accorde ne me jouera-t-elle pas un tour irréversible ? Je me vois perdue dans un labyrinthe qui, au delà des trois mois prévus me tire vers un brasier incontrôlable où détenue de f o r c e je disparais à jamais. La fatigue me joue des tours, je me dis que tout doit être plus simple et que je délire alors que l'ascenseur s'arrête et que la porte s'ouvre sur un large couloir sombre éclairé deci-delà par des chandeliers à ampoules électriques .

L'odeur de moisi est forte, il s'agit des caves. Des portes en bois massif se profilent des deux cotés. Nous avançons, ou plutôt Fiedrich me tire vers une porte à double battants qui s'ouvre sur une salle dont l'intérieur me fait écarquiller les yeux et mon mouvement de recul est contenu par un autre homme, qui se trouvait en retrait derrière un des battants ouverts . Là j'ai vraiment peur, cette pièce est une véritable chambre de t o r t u r e , à la fois médiévale (comme dans les livres) et dotée de toute la panoplie d'appareillage moderne (comme dans les livres aussi) .

J'ai pu apercevoir sur un coté, sous des chaînes qui pendent du plafond voûté, un poteau métallique taillée en pointe arrondie avec des menottes et des s a n g les de cuir. Mon dieu c'est un pal, un pal géant, aucune femme normalement constituée ne pourrait s'emmancher là-dessus . Une roue en bois dans un autre angle, plusieurs croix dont une surélevée par une estrade au centre de la pièce qui doit être réglable car l'angle d'écartèlement est excessivement ouvert .

De partout des accessoires terribles sont disponibles, sur les murs, posés sur des tables, ou pendant à la clé de voûte .
Une autre salle est visible plus au fond, carrelée celle là ; elle dispose de toute la technologie électrique et électronique actuelle .Fauteuil genre dentiste avec plein de points d'attache, table de gynécologie comportant des tuyaux de plusieurs types ( je vois mal comment quelqu'un de sensé pourrait utiliser ces choses sur moi. Cette visite doit sûrement être faite dans le seul but de m'impressionner non ??? ). Ces tuyaux doivent servir à donner des lavements car il y a aussi des récipients fixés. Un autre fauteuil en inox avec plein de fils électriques qui courent vers une console de commande à coté d'une étagère remplie de divers olisbos d'acier dont certains difformes .

Mince alors ! Moi qui croyais avoir tout vu ou presque . Bon ça suffit, je n'aime pas cet endroit lugubre il faut que je parte. Je fais demi-tour et me propulse vers la sortie. Je suis jeune et rapide, mon mouvement surprend mes accompagnateurs. J'arrive au niveau de la grande porte lorsque ma tête semble s'arracher du reste de mon corps .
Le deuxième homme mi-géant mais brute entière puant l'ail m'a saisi par les cheveux en pleine course, je me retrouve sur les fesses, je me relève presto et tente de me dégager, son énorme battoir me chope à l'épaule, m e r d e je cris, je me débats, il me tiens fort ce con, d'un coup mon pied part, je ressent le choc de la pointe de mon escarpin contre son bas ventre " réussi ", non , "loupé" car Fiedrich me gratifie d'une tarte qui laissera une belle marque assez longtemps sur ma joue et qui surtout, et pour mon malheur m'envoie au sol à moitié dans les vapes .

Les deux sbires en profitent pour me passer des menottes et font taire mes insultes avec un bâillon muni d'un godemichet qui distend mes mâchoires et pénètre ma gorge, me faisant hoqueter .

Tu veux t'amuser à ce jeu là petite salope, me dit l'ours géant en se massant les couilles, très bien, saches qu'aujourd'hui tu vas passer de la visite à la pratique . Ces instruments de douleur te sont réservés, tu les pratiquera tous et peut-être en aimeras-tu certains . De toutes les façons ton avis ne te sera pas demandé. Si nous décidons de t'offrir une tournée sur l'un ou l'autre de ces ustensiles . Au secours Maîtresse, dieu aidez moi, il ne faut pas me laisser aux mains de ces fous, Agnès viens me chercher. Je hurle sur le phallus dans ma gorge, que dis-je, je rugis mon désespoir car je sais que tu n'est plus là pour modérer ces "hommes bêtes", tu es partie pour le week-end entier,
au secouuuuur MMfffff ...

(esclave loren)


  • T'as envie de courir, p'tite pute ? t'as envie de bouger ? On va te faire danser.

C'est la brute qui a parlé en t'attrapant par les menottes. Tu te retrouves crochetée à une chaîne qui pend de la voûte. Encore. Et la nuit a laissé des souvenirs dans tes muscles. La panique te saisit. Les yeux de l'homme sont comme fous. Tu essaies de protester... Nnnnnnn..... A quoi bon. Tu tournes la tête en tous sens. Tes yeux sont exorbités d'une peur abjecte. Tu penses à moi. MAis je ne suis pas là tu le sais. J'ai certes laissé des instructions mais ...

Petite imbécile, avais tu besoin de provoquer Karl. Ne t'avais-je pas prévenue ? Même moi je ne m'y fie pas. Je le garde car justement il est complètement givré, que ça se voit et que sa présence calme les esclaves les plus indociles. Pourtant tu as encore de la chance. Fiedrich est là. Il saura temporiser si Karl va trop loin. Tu ne t'en rends pas compte en ce moment, mais que Fiedrich te ligote les chevilles, c'est pour ton bien.

Qu'il remplace tes menottes par un lien de grosse corde aussi. Et qu'il échange le fouet qu'a saisit Karl, contre un gros martinet aux larges lanières. C'est également pour éviter que Karl ne t'estropie. Par contre si Fiedrich entreprend de t'arroser copieusement avec un tuyau d'arrosage ce n'est pas pour adoucir ton supplice. Il reste assez loin de toi d'ailleurs. Qui gigote, qui tressaute, qui te cambre en hurlements étouffés. Karl y va de bon coeur. Il a la main lourde. Et il n'épargne aucun endroit sensible.

Soudain plus rien. Tu t'affaisses en gémissant retenue par les poignets. Ta tête dodeline. Tu gémis doucement en respirant rapidement. Puis on te tire la tête en arrière. Un jet d'eau sur le visage manque t'étouffer. Tu ouvres des yeux embués de larmes. C'est quoi ça ? Que tient fiedrich à la main. Ca bourdonne ... Nooooooonnnnnnnnn .... un aiguillon électrique !!!!! L'arrosage, c'était pour ça...
Et Karl recommence la danse. Tu as fermé les yeux, tu ne peux t'en empêcher, mais tu sais que Fiedrich va s'en servir.
Malgré les coups qui te labourent la peau tu trembles.
Et ....

Tu sautes littéralement en l'air. Il a visé ton entre-cuisse.... Un coup de fouet...un coup d'aiguillon...les seins maintenant Tu grognes, tu cries. Tu mords dans ce pénis qui remplit ta bouche. Lorsqu'enfin ils s'arrêtent, tu es presque sans connaissance. Tes jambes ne te portent plus. Pauvre poupée de chiffon suspendue par les poignets dont les pieds traînent par terre. Tu halètes, le souffle rauque, le coeur battant la chamade. Puis Karl te saisit par la taille te remet sur tes pieds. Il défait la fermeture de son jean, en sort un truc énorme, passe derrière toi, t' écarte les fesses de deux mains dures .... (Madame Agnès)

lundi 14 mai 9 h 30 Réunion-bilan hebdomadaire J'écoute mes collaborateurs. Ils me rendent compte des activités de la semaine, des mouvements de marchandises. Pas de vente. Le problème ne vient pas de la production. C'est le commercial qui piétine. Quelques mutations ?? A la production... Peu importe. J'attends beaucoup du marché de Pentecôte.

De la matière d'oeuvre arrivée d'Espagne. Qualité correcte. Arrivage de Savoie aussi. Mais ce n'est que momentanée. Une location. J'interroge Fiedrich sur la marchandise en question. J'y tiens mais je n'ai pu surveiller personnellement le processus de production au cours du week-end.

  • Et bien, Madame, je dirais que globalement le processus a suivi son cours de manière satisfaisante. Bien que nous ayons rencontré quelques problèmes au début. Mais nous avons redressé la situation." Nous ? Oh la la. Le "nous" m'inquiète. Surtout que je vois le Karl s'agiter sur sa chaise.

  • Karl ?" Fiedrich ? Que s'est-il passé ? Fiedrich prend la parole.

  • Madame, votre protégée a quelque peu malmené certains organes sensibles dont Karl est particulièrement fier. Il en était fort courroucé mais je l'ai convaincu de modérer sa colère." Qu'as-tu fait ? Si tu t'en es pris à la bite de Karl, tu as de la chance d'être encore en vie.

  • Karl, je t'écoute" On dirait un gamin pris en faute. Il est vrai que je l'ai corrigé une fois. A coup de fouet. Dans la crypte sur la croix. Avec quelques kilos accrochés à ses testicules. Mais à le voir, baisser les yeux, les mains entre ses cuisses serrées (il s'en rappelle !), je sais déjà que je vais te retrouver en sale état. " Karl !"

  • Voui, Madame. Ben à peine arrivée en bas, la vla qui s'sauve. J'la rattr a p e et elle me shoote les parties. Je contiens un sourire. Tu es insupportable hein ? Et alors ?

  • Ben j'lai tannée. Et pis j'lai v i o l ée. Plusieurs fois. Surtout par le cul. Il est tout serré vous savez ? Enfin.... un peu moins maintenant.

  • Oui ça va ! Ma voix claque. Et ensuite ?

  • Un peu de pilori. Un peu de v i o l encore. Mais c'était plus drôle. Elle résistait plus. Mais Fiedrich l'a v i o l ée aussi. Et il l'a piquée avec le truc électrique. M'dame, elle sautait comme c'est pas permis. Surtout qu'il l'avait arrosé avant. Et que j'la fouettait en même temps. Ses yeux roulaient, elle grognait, elle bavait. Elle a même laissé des marques dans le gode que Fiedrich lui avait enfilé dans la bouche. Je me calme. Je reprends ma respiration. Je l'arrête de la main.

  • Où est-elle maintenant ?

  • Dans l'oubliette M'dame. C'est Fiedrich qui l'a foutue dedans.

  • Chère Madame, votre protégée a beaucoup de voix. Elle perturbait notablement l'ambiance sereine de la crypte. Un bâillon même aurait été insuffisant. Ou l'aurait endommagée. Pour l'instant elle est au calme, elle se repose. Au frais. Nous l'avons même nourrie. Je me retiens. J'ai envie de courir vers la crypte et de dévisser la tête de ce sournois pompeux.

  • Accompagnez moi ! Et je vous garantis que si elle est blessée ... Dois -je vous rappeler qu'elle est pensionnaire volontaire ? L'oubliette. Le pire endroit de l'Abbaye. Un puits de 1 m 50 de diamètre (on ne peut s'allonger) qui s'enfonce à quelques 4 mètres sous le sol de la crypte. Et fermé par une plaque de fonte. Pas de lumière une fois que la plaque est mise en place. Noir, humide, froid. Peu utilisée d'ailleurs. Ou peu de temps.

Karl soulève la plaque avec un levier et la repousse. Je mets le pied dessus. Il blêmit : ses doigts sont encore dessous.

  • Je te préviens Karl, si tu l'as abîmée, cette fois-ci je te les coupe.
  • Non Maîtresse, pas abîmée, juste un peu v i o l ée. J'enlève mon pied. Fiedrich fait glisser la corde et le crochet.
  • Elle est enchaînée ?
  • Oui Madame. Les mains dans le dos.
  • Alors descendez. Elle n'y arrivera pas seule.

Les deux se regardent et c'est Karl qui se dévoue. Moi je n'entends rien dans le trou. Je m'approche un peu. Pas trop. Fiedrich est derrière moi. -Loren, c'est moi, ta Maîtresse. Réponds !

J'entends comme un jappement surpris et une drôle de voix,"Oui, Maîtresse" -Tais toi maintenant. Karl descend te chercher.

C'est une souillon boueuse et crottée qui émerge bientôt du trou pour s'affaler à mes pieds comme une serpillière. Un coassement, "Maîtresse Agnès" Tes yeux ? Ont ils encore cette lueur d'orgueil ? Non... Je ne sais pas. Ils sont fermés, la lumière. Pas de sensiblerie devant eux. J'ordonne. Je suis la Maîtresse de l'Abbaye.

  • Vous me bâillonnez ça ! Vous me la décrassez au jet rapidement et vous me l'apportez dans ma chambre. Sans b r u t a l i t é . Compris Monsieur Fiedrich ?
  • Bien Madame. Il salue de la tête.

Je sors. Je dois sortir de la salle de dressage. Dans l'ascenseur, adossée contre la paroi,je m'exerce à respirer lentement. N'aurais-je pas arrêter de fumer que je m'insufflerais une dose de nicotine. J'arrache presque la porte de ma chambre tandis que le couloir semble résonner encore de mes pas. Lola s'esquive. Elle a vu mon visage. Je tourne en rond en attendant. Ah... Du café... Gentille Lola. Sur la desserte. Du sucre... Tant pis pour les nerfs. Cela m'occupe. Enfin l'on frappe. C'est eux. C'est toi. Ils te portent quasiment. Je montre la salle de bain.

-Accrochez là.

Ils obtempèrent. Disparaissent. "Bonne journée Madame, R'voir Maîtresse." A nous ! Mais d'abord ma cravache. Un coup sur les cuisses. Sec. Tu sursautes. Tes yeux s'arrondissent. Des larmes en jaillissent. Tu trembles, tu ne comprends pas.

  • Ca c'est pour ta mauvaise conduite envers tes gardiens

Un autre coup.

  • Et ça, c'est pour ton fichu orgueil de fichue bretonne. Et pour m'avoir fichu la frousse. Ca y est, je suis calmée. Je regarde ton corps en extension. Les séances de flagellation ont laissé leurs marques. Bien nettes. Bien rouges. Mais il n'y a pas de plaies semble-t-il ? Fiedrich a tout de même réussi à contrôler le psychopathe. Et lui même. Mes doigts lisent doucement les arabesques sur ta peau. Journal d'un week-end . Par contre en bas ... Non. Laver tout ça d'abord. Tu es encore terreuse. Le plus gros est parti, mais... Je me déshabille, rapidement. Tout vole sur le carrelage. Uniforme, chemisier, dessous... Un savon antiseptique et la douche. Tiède cette fois.

Et j'enlève le bâillon. Tu as de la terre plein la bouche (mmm de la terre pas sur) Evidemment tu as mangé à même le sol dans l'oubliette. Avec les mains dans le dos. Et cette marque sur ta joue. Et ta lèvre inférieure. Toute gonflée. Au fur et à mesure que je te nettoie, que l'eau devient plus claire, je découvre l'étendue des dégâts. Griffures, ongles cassés, cheveux arrachés. Et ton jardin secret. Un bulldozer y est passé. Tu as saigné. Des croûtes sur tes cuisses. Du s a n g mêlé de sperme.

Quand à ton derrière... Je te détache. Je t'agenouille. Te penche en avant, à quatre pattes. Tu essayes d'esquiver mon majeur inquisiteur mais je te maintiens les reins de ma main gauche. Tu rauques un "Maîtresse". Trop crié. La voix casée. Oui, bon. C'est à vif. Mais le toucher est souple. Probablement quelques veines éclatées. Un peu de crème. Anti-inflammatoire et calmante. Je te sèche dans un drap de coton doux. Un vieux drap un peu usé. Puis Biafine. Je t'agenouille, brosse tes cheveux, oui ça fait mal, il y a une plaie. Je les sèche.
Tes ongles de mains. J'en retire du noir. Je suis à genou aussi. Face à toi. Hon hon ! Je sais m'agenouiller aussi. Mais j'ai le droit de garder mes cuisses serrées. Moi. Pas toi. Une grimace de sourire déforme un instant tes lèvres.

Je suis folle. ... Je ne peux me retenir. Je les embrasse ces lèvres. Un court baiser. Pas fini. Assise maintenant. Oh oui ! Ca fait mal. Pas prête de t'asseoir normalement.
Jambes étendues. Tu as oublié ? Tes ongles de pieds tout aussi noirs ! Je suis à genou au dessus de tes jambes, je te tourne le dos. Celui là est presque arraché. Je coupe. Je désinfecte. Un pansement. Aie ! Excuse moi je t'ai fais mal. Pas une raison pour m'enfoncer tes doigts dans le dos.
Allez ! Viens, loren, debout. Je trouve dans la commode une grande culotte de coton un peu gainante. Eviter que cela frotte. Avec une serviette périodique cela devrait adoucir les choses.
Une chemise de nuit. Coton et dentelle de Calais. Je te pousse vers le lit. Une paire de bracelet de cuir. Tout neuf. Ils me permettent de joindre tes mains dans ton dos. Je t'agenouille et je m'assois sur le lit. Devant toi. J'ouvre mes cuisse. Je prends ton menton dans ma main.

  • Esclave de plaisir... (je souris, tu as plutôt l'air d'une sage collégienne habillée comme ça )je t'ai préparée. Esclave récalcitrante... voyons ce que tu vaux réellement.

(Madame Agnès)


Ton doux baiser sur mes lèvres meurtries m'a ressuscité, il m'a fait revenir chez les vivants alors que j'étais m o r t e et descendue dans le feu de l'enfer .. Obéissante je me penche en avant ; comme ton parfum est agréable, je reconnais J-P Gaultier.
J'adore .

Je pose ma joue sur ta cuisse, juste au dessus de la trace qu'auront laissées quelques jarretières trop serrées, j'embrasse ta peau,,, doucement, un frisson, je sors gentiment ma langue rosée et lèche lentement en remontant vers le centre de ton compas .
J'aime ce moment, je ressent la sensation de te dominer un peu, c'est moi qui te guide vers le chemin que tu souhaites .
Et je m'approche à petits coups de langue, je vise ta fleur humide et m'y noie . Je respire ton odeur, en cet endroit, plus de parfum, c'est d'odeur qu'on parle, de musc, ta senteur est agréablement fruitée, suave et vanillée . Je prolonge entre tes lèvres que ma langue écarte,,,,un tressautement cette fois,,,,je remonte encore vers ton bourgeon que je contourne, puis je tourne autour, doucement, j'accélère,,,tu écartes d'avantage les cuisses,,,,j'entends un gémissement, (est-ce toi Maîtresse ?) je continue ma ronde inlassable, danse de Saint-Guy de ma langue .

Soudain, je m'incruste en toi, profond, avalant au passage le suc de ton plaisir qui s'approche . Je mime avec ma langue les mouvements d'un pénis, tu te cambres, je bascule sur ton clitoris que j'aspire, tu te renverses en arrière, il sort de sa gaine, je le suce comme je suçais Dominique, ( tu le penses...et me revois) Les décharges électriques qu'il reçoit, transforment ta chatte en fontaine, source d'un millésime unique que je déguste tel un nectar . Tu me parlais d'embrasser et là c'est toi qui t'embrases, tu prends feu, je persiste, mes mouvements sont précis, je mordille ton dard écarlate, tu vibres sans arrêt, je sens que tu vas jouir alors je stoppe et retourne me noyer dans les abysses de ton ventre .

La marée est puissante, ta liqueur coule jusque sur ma poitrine douloureusement marquée, je rejoins à nouveau le nerf sous haute tension . Je prends conscience des sons qui sortent de ta bouche, tu sembles délirer, une succion énergique, tu remontes aux portes de ton paradis, je multiplie les volutes et les petits coups de dents, ton clito semble briller dans la pénombre de ta chambre, tu te tends comme un arc, je continue encore et encore, dommage que je ne puisse pas me servir de mes mains, tu cries, tu râles, ta jouissance est totale, tu ne triches pas, je retrouve un peu de ma fierté perdue, je bois ton jus qui cascade, cela ne s'arrête pas, moi non plus, je t'en donne encore plus , je multiplie mes morsures et mes succions sur la bête dressée, et tu viens encore et toujours . D'un coup tu chantes une longue plainte et te retournes à plat ventre sur ton lit, la mélodie s'éteint sur tes lèvres .. Je demeure à genoux cuisses ouvertes, ta petite m o r t se prolonge, je veille sur toi "Maîtresse" ...

Avec ce que j'ai enduré ces dernières journées ma pensée s'embrume , je revois Fiedrich m'électrocuter sous les coups de martinet de l'autre dingue, la douleur innommable que j'ai ressenti, je souffre encore dans mon ventre et dans mes reins des ravages qu'ils ont faits, le sexe incroyable du monstre pénétrant mon ventre jusqu'à la garde, heurtant et repoussant mon col de l'utérus, avec l'impression qu'il m'investissait jusqu'au fond de la matrice. Rien ne me fut épargné, l'horrible salopard m'a sodomisé comme un soudard un nombre incalculable de fois. L'autre, riant de mes hurlements dans mon bâillon, ne fut pas en reste non plus. C'est lui qui se chargeait de me faire reprendre conscience, maniant son aiguillon venimeux contre mes seins ou mon clitoris .
Pour parachever leur oeuvre de destruction méthodique ils m'ont prise ensemble, en sandwich comme ils ont dits, menottée à une chaîne pendant de la voûte, leurs sexes me soulevant littéralement du sol. J'ai vraiment cru mourir les intestins et le vagin déchirés, comme la chair d'une femme peut-être souple ! ! !

L'angoisse et la peur, la douleur d'un corps brisé enfouis dans une oubliette pendant des heures et l'espoir qui renaît par le timbre d'une voix "Agnès, Maîtresse Agnès " qui m'appelle et qui vient m'arracher à mon atroce condition ..........

(esclave loren

Je t'ai entraînée vers la Chambre de Correction où je t'ai dévêtue. Tu t'es laissé faire. En souriant.
Te tortillant lorsque mes mains se sont égarées sur ta poitrine, sur ton ventre nu. Rapidement j'ai entravé tes jambes d'une barre qui a ouvert tes cuisses et j'ai lié tes poignets au moyen de deux bracelets de cuir
que j'ai accrochés ensemble à la chaîne qui pendait de la voûte. Puis j'ai emprisonné ta taille d'une large ceinture que j'ai serrée à te couper le souffle. Je me suis reculée pour te regarder.
Prisonnière de mes désirs, écartelée, les mains jointes à hauteur du front. Offerte à tous mes caprices, en équilibre sur tes hauts talons, la respiration oppressée. J'ai saisi ta taille et mes mains gantées de cuir ont caressé tes courbes. Empoigné les globes de tes fesses, les écartant. Puis j'ai remonté la colonne de ton corps, glissé vers ta poitrine, tes seins petits.

Tu as sursauté lorsque j'ai équipé tes mamelons de ces pinces à clochettes.. Ton souffle s'est fait plus rapide. Plus ample. Et tu as jappé lorsque j'en ai fait de même avec les lèvres de ton sexe. J'ai posé ma main gauche au creux de tes reins en accentuant la cambrure. "Penche toi mon esclave, offre toi" Tu as obéi. Penchée vers l'avant, tes mains agrippant la chaîne. Les lanières du fouet t'ont surprise, lorsque j'ai caressé tendrement ton dos, tes fesses. J'ai fait deux pas en arrière.

Et j'ai abattu le fouet sur tes fesses. Fermement. D'un coté puis de l'autre. Et encore. Et encore. Le bruit mat ponctué du cristal des clochettes. J'ai alterné avec ton dos en volutes légères, en volutes brutales Ta peau, peu a peu, a rougi. J'ai arrêté un instant et j'ai glissé le fouet entre tes cuisses. J'ai bousculé ainsi les pinces qui te meurtrissaient le ventre, t'arrachant un gémissement. J'ai levé mon bras. Je t'ai laissé attendre. Ta peau se perlait de fines gouttes de sueur. Et j'ai laissé mon bras retomber. Verticalement. Le fouet a embrasé la raie de tes fesses. Puis j'ai remonté mon bras, les lanières embrassant la chair si tendre et déjà brûlante de ton sexe. Embrassement, embrasement. Baiser, morsure. Jouissance et souffrance mêlées. Tu t'es redressée en criant. J'ai hurlé : "offre toi" en frappant au milieu de tes fesses. Tu as replongé vers l'avant, m'obéissant en geignant. J'ai continué ainsi. De haut en bas, de bas en haut. De droite à gauche, de gauche à droite. Jusqu'à ce que tu pleures.

J'ai arrêté alors. Je me suis approchée, je me suis collée à toi, m'écrasant contre ta poitrine. J'ai crocheté tes cheveux, j'ai tiré vers l'arrière. Tu m'as offert ta bouche et j'ai dévoré tes lèvres. Et de ma main droite j'ai enfoncé le manche du fouet en toi, te soulevant presque. C'est un tremblement spasmodique qui a cambré tes reins et j'ai étouffé d'un baiser le râle de plaisir qui montait en toi.

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